Monsieur Matsas SAVVAS,
Par un courriel de Monsieur Raoul Marc JENNAR, j'apprends que l'on vous fait grief et vous assigne à comparution devant un tribunal, pour avoir exprimé votre opinion à l'encontre d'un parti politique. Voilà une belle conception de la liberté, dans un pays qui nous a donné les bases de notre civilisation.
Il semble qu'après plus de six décennies l'histoire se répète et que les peuples oublient jusqu'à dans leurs lois, les enseignements du passé. S'il est légitime que des citoyens expriment des opinions et
agissent avec des méthodes, pour le moins douteuse et répréhensible au regard de la loi, tout citoyen doit avoir le droit et la liberté de dénoncer ces agissements et pamphlets, lorsqu'ils prennent pour cible la dignité de la race humaine.
Je suis navré que dans votre pays, le seul fait d'exprimer son opinion et de vouloir s'opposer à de tels agissements enfreigne la loi ! Faire de vous un prévenu dans des circonstances, que je qualifierais de
courtelinesque, n’est pas raisonnable.
En espérant que la raison n'a pas quitté l'esprit de vos tribunaux, je vous prie Monsieur Matsa SAVVAS, d'accepter l'expression de toute ma sympathie, dans ces circonstances pénibles.
Cordialement, de la part d'un Homme "encore libre", mais sans trop d'illusions.
Jean SCHREURS
Par un courriel de Monsieur Raoul Marc JENNAR, j'apprends que l'on vous fait grief et vous assigne à comparution devant un tribunal, pour avoir exprimé votre opinion à l'encontre d'un parti politique. Voilà une belle conception de la liberté, dans un pays qui nous a donné les bases de notre civilisation.
Il semble qu'après plus de six décennies l'histoire se répète et que les peuples oublient jusqu'à dans leurs lois, les enseignements du passé. S'il est légitime que des citoyens expriment des opinions et
agissent avec des méthodes, pour le moins douteuse et répréhensible au regard de la loi, tout citoyen doit avoir le droit et la liberté de dénoncer ces agissements et pamphlets, lorsqu'ils prennent pour cible la dignité de la race humaine.
Je suis navré que dans votre pays, le seul fait d'exprimer son opinion et de vouloir s'opposer à de tels agissements enfreigne la loi ! Faire de vous un prévenu dans des circonstances, que je qualifierais de
courtelinesque, n’est pas raisonnable.
En espérant que la raison n'a pas quitté l'esprit de vos tribunaux, je vous prie Monsieur Matsa SAVVAS, d'accepter l'expression de toute ma sympathie, dans ces circonstances pénibles.
Cordialement, de la part d'un Homme "encore libre", mais sans trop d'illusions.
Jean SCHREURS